Par peur d’être stigmatisées par leurs proches ou répudiées par leurs conjoints, à Bamako, nombre de femmes enceintes vivant avec le VIH/Sida préfèrent gérer en solo leur mal. Une double peine, difficile à surmonter.
Par peur d’être stigmatisées par leurs proches ou répudiées par leurs conjoints, à Bamako, nombre de femmes enceintes vivant avec le VIH/Sida préfèrent gérer en solo leur mal. Une double peine, difficile à surmonter.