Auparavant, l’infidélité était conjuguée au masculin et les rares femmes qui s’y prêtaient le faisaient dans la plus grande discrétion. Tel n’est plus le cas aujourd’hui, et elles ne sont pas les seules fautives, à en croire certaines.
Auparavant, l’infidélité était conjuguée au masculin et les rares femmes qui s’y prêtaient le faisaient dans la plus grande discrétion. Tel n’est plus le cas aujourd’hui, et elles ne sont pas les seules fautives, à en croire certaines.