Au Mali, certaines femmes de migrants sont privés d’activité sexuelle durant l’absence de leur mari. Pour Mariam Sanè Coulibaly, cette situation est aussi une forme de violence basée sur le genre.
Mariage
#MaliSansVBG : face à la violence conjugale, les femmes doivent partir
Certaines femmes vivent l’enfer au quotidien dans leur foyer, mais restent malgré tout. Alors qu’elles ont la possibilité de partir. Une attitude que déplore Dramane Maïga.
#MaliSansVBG : « Il ne m’aime plus, j’ai peur pour ma vie et celle de mes enfants »
La campagne #MaliSansVBG, lancée par Benbere, a encouragé une victime à témoigner, sous anonymat, à notre blogueur Dramane Maïga.
#MaliSansVBG: il faut continuer la lutte contre la violence entre partenaires intimes
Pour la chercheuse et enseignante Aïssata Ba, nous accusons souvent les survivantes ou victimes de violence entre partenaires intimes de ne pas avoir quitté leur partenaire violent plus tôt. Toutes choses qui ne sont pas toujours faciles.
#MaliSansVBG : ma sœur, battue sur fond de jalousie
Elle n’avait jamais cru qu’un jour, les coups de pieds et les uppercuts remplaceraient les caresses que son mari lui donnait. Et pourtant, c’est arrivé !
#MaliSansVBG : Les deux vies d’enfer de Safiatou
Safiatou (pseudo) souffre dans son couple comme beaucoup d’autres femmes. Une vie de couple difficile, faite d’insultes et d’humiliations, après une autre, dure, chez son oncle. Témoignage.
Grin des hommes mariés : les épouses doivent y avoir leur place aussi
Dans ce billet, notre blogueuse Foutey Kongho, s’interroge sur l’exclusion des femmes mariées par les membres du grin, qui, estime-t-elle, devraient venir avec leurs épouses.
Livre : pourquoi lire « Toiles d’araignées » d’Ibrahima Ly
Le blogueur Jean-Marie Ntahimpera nous invite à redécouvrir Toiles d’araignées, un livre qui reste d’actualité 37 ans après sa publication. « C’est un livre qui devrait être lu par tous ceux qui sont révoltés par les injustices », écrit-il.
À mon futur mari : le jour de notre mariage
A travers ce poème, la blogueuse Mariam Sanè se projette dans le futur, jusqu’au jour de son mariage. Dans ce poème, elle s’adresse à son futur mari.