Le déploiement d’un contingent danois au Mali, au cœur d’un imbroglio depuis le lundi 24 janvier, est loin de s’éclaircir.
Affaires étrangères
Mali-Niger : retour sur un discours polémique qui occulte le fond du problème
Si le président nigérien, Mohamed Bazoum, semble avoir raison sur la forme, il reste que sur le fond il a refusé volontairement d’aborder les vrais problèmes que sont la mauvaise gouvernance, les inégalités sociales et l’échec de la démocratie en[…]
[Tribune] La France expose l’Europe à un gros risque
En perte d’influence sur le continent, la France expérimente des stratégies nouvelles pour tenter de rebondir. Les pays affaiblis par des crises sécuritaire et politique, comme le Mali, sont des proies faciles à croquer face auxquelles elle montre les muscles[…]
Hommage à Boubacar Gaoussou Diarra, un grand homme de droit et d’action
Le Secrétaire exécutif du G5 Sahel, Maman Sambo Sidikou, rend hommage à l’ambassadeur Boubacar Gaoussou Diarra, décédé le 23 avril des suites de la Covid-19.
Coopération : six chiffres pour comprendre la présence de la Chine en Afrique
En Afrique, la présence de la Chine est à la fois politique et économique. La démonstration en six chiffres.
[Tribune] Mali : éviter à tout prix un isolement diplomatique
La situation sociopolitique s’enlise au Mali, et laisse craindre une crise institutionnelle inédite. C’est un risque d’isolement diplomatique à éviter, écrit notre blogueur.
Intervention russe : le Mali n’est pas la Syrie !
Pour notre blogueur Mohamed Ag Assory, analyste politique et spécialiste des relations internationales, l’intervention russe tant souhaitée par des Maliens n’est pas pour demain.
Repenser la stratégie au Sahel : « Takouba », l’opération de trop ?
La ministre française des Armées, Florence Parly, a annoncé il y a quelques jours le lancement d’une nouvelle opération appelée « Takouba » (« sabre » en songhaï et tamasheq). Au lieu de nous imposer une procession d’opérations, il est réaliste de revoir la[…]
Éditorial d’Adam Thiam : Russafrique ?
L’Afrique n’est pas à Sotchi pour prendre la Bastille. Elle y est pour étudier une offre russe repensée. Et elle y va avec sa faiblesse natale : celle d’arriver dispersée et cacophonique là où la Commission de l’Union africaine, porteuse[…]