Le 18 août 2020, l’ancien président malien Ibrahim Boubacar Keita a été renversé par un groupe d’officiers mené par le colonel Assimi Goita, après des semaines de contestation dans les rues maliennes. Depuis, le pays vit dans une transition qui s’étendra sur 18[…]
Le débat sur la légalisation des avantages et indemnités des membres du CNT, amplifié à juste titre par le contexte, doit impérativement aller au-delà de la conjoncture actuelle, pour poser les bases de la moralisation de la vie politique afin[…]
Une certaine lassitude se lit entre les lignes dans les déclarations de certains acteurs politiques sur la transition au Mali.
Même si le calendrier n’est pas encore clair, le Mali se prépare aux élections qui mettront en place les institutions post-transition. C’est le moment de réfléchir à la place à donner aux femmes dans les institutions.
Reste-t-il encore grand-chose du cadre de concertation initié entre le gouvernement, les partis politiques et la société civile, mis en place depuis la première séquence de la transition pour permettre le dialogue ?
Une chanson postée sur TikTok est présentée comme étant dédiée au président de la transition, colonel Assimi Goïta. Reste que cette chanson a été enregistrée en 2017, soit quatre ans avant l’arrivée au pouvoir du chef de l’Etat malien.
Sur les réseaux sociaux, une photo manipulée de l’ancien président de l’Assemblée nationale gabonaise a été faussement présentée comme étant la preuve d’une rencontre entre l’ancien président du Gabon, Ali Bongo et son tombeur Olingui Nguema.
Sur Facebook, circule un message de soutien attribué à l’ancien président américain, Barack Obama, à l’endroit des autorités maliennes de transition. C’est de l’intox !
Pour signer la pétition, cliquez ici. Nous, start-ups et PME du Mali, exprimons par ce manifeste notre profonde inquiétude et notre détermination face à la situation complexe que traverse notre pays.
La question du caractère « exécutoire » des recommandations des Assises nationales de la refondation (ANR) au futur président, un des arguments phares pour justifier leur tenue, était au centre centre d’une session d’échanges entre un constitutionnaliste malien et les blogueurs.
