La famille est le cadre idéal de dialogue parents-enfants sur la santé sexuelle et reproductive. Mais, en Côte d’Ivoire, le sujet est difficile à aborder.
Mahmoud HASSIMI
Côte d’Ivoire : le paludisme, premier motif de consultation dans les hôpitaux
En Côte d’Ivoire, le paludisme est le premier motif de consultation dans les hôpitaux. Selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS), entre 1 et 3 millions de personnes en meurent chaque année, dont près de 90% sur le seul continent […]
Côte d’Ivoire : l’allaitement maternel de moins en moins pratiqué
L’allaitement maternel est, aujourd’hui, peu pratiqué par les femmes en Côte d’Ivoire. Selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS), moins de 40% des nourrissons d’environ six mois sont allaités exclusivement au sein.
Infertilité dans le couple : la femme indexée
Dans les sociétés africaines, la femme est généralement indexée en cas d’infertilité dans un couple. Un cauchemar pour nombre de femmes.
Santé de la reproduction – Côte d’Ivoire : la médecine traditionnelle gagne du terrain
En Côte d’Ivoire, la médecine traditionnelle gagne des adeptes. C’est désormais le recours privilégié dans le traitement de troubles de l’érection et d’autres problèmes de santé sexuelle et de la reproduction.
Sexualité et adolescence : briser le tabou
En Côte d’Ivoire, malgré un semblant de libéralisation des mœurs, parler de sexualité avec les adolescent.e.s reste tabou pour beaucoup de parents.
Paludisme et grossesse : en Côte d’Ivoire, un problème de santé publique
Le paludisme, chez la femme enceinte, est un problème majeur de santé publique en Côte d’Ivoire. Il a des conséquences graves aussi bien sur la mère, le fœtus que le nouveau-né. Il est surtout responsable d´un fort taux de morbi-mortalité maternelle et infantile.
Côte d’Ivoire : la césarienne, pas effectivement gratuite
Compte tenu du coût élevé, beaucoup de femmes en Côte d’Ivoire fuient les hôpitaux, sans soins, après la césarienne.
Côte d’Ivoire : le fibrome utérin, une maladie gênante peu connue
Le fibrome est une maladie qui se manifeste par des tumeurs bénignes du tissu musculaire. La plupart du temps, il ne s’accompagne pas de symptômes visibles. Ce qui fait que des femmes contractent la maladie sans le savoir.