Pour le blogueur Mahamane Boré, la fête traditionnelle du Tondodji, qui a lieu à l’approche de la saison des pluies dans le Kunari (Mopti), est à perpétuer.
Vivre ensemble
Ségou : à Korodougou, la renaissance de la tradition du Ntenenko
À Korodougou, dans le cercle de Bla (Ségou), la fête du Ntenenko est revalorisée après une période de disparition. La renaissance de cette tradition n’est pas vue d’un bon œil par tout le monde.
Lettre : « Vous ne construirez pas le Mali en voulant la victoire les uns sur les autres »
Dans cette lettre, le Mali s’adresse à ses enfants qu’il appelle à se poser les bonnes questions et à privilégier la réflexion à la colère, à travers la plume de Salimata Traoré. La construction ne passera pas par la victoire[…]
« Kan sina muso ya » : un casse-tête pour les époux
La vie de couple en grande famille n’est pas chose aisée. Les femmes des différents frères peuvent semer de la discorde du fait de leurs rivalités. Un véritable casse-tête pour les époux.
#MaliSansEsclaves-Kayes : l’esclavage par ascendance, terreau potentiel d’instabilité
La répression d’« anciens esclaves », refusant d’assumer ce statut réducteur dans la région de Kayes, pourrait être la boîte de Pandore d’une insécurité multiforme, ouvrant la voie à l’émergence de groupes extrémistes à l’affût. L’esclavage par ascendance représente un terreau potentiel[…]
#MaliSansEsclaves : « Les Amants de l’esclaverie » ou le récit d’une héroïque quête de liberté
Les Amants de l’esclaverie, (Le cavalier bleu, 2004 et réédité en 2016 aux éd. La Sahélienne) est d’une brulante actualité en raison de la quête héroïque de liberté, trame du récit.
#MaliSansEsclaves : le troublant silence des autorités
Malgré que la pratique de l’esclavage par ascendance dans la région de Kayes soit connue de tous, les pouvoirs publics brillent par leur troublant silence. Une attitude des autorités qui suscite des interrogations et incompréhensions au sein de l’opinion publique[…]
#MaliSansEsclaves : à Yelimané, un imam déchu pour avoir dénoncé son statut de « jon »
À Hamdallaye, un village du cercle de Yélimané, Ali Cherif Diarra a été déchu de son poste d’imam, il y a deux ans, pour avoir refusé d’assumer le statut de « jon ».
À Tombouctou, la stigmatisation envers les patients guéris de la Covid-19
À Tombouctou, la Covid-19 a été mal perçue par bon nombre de personnes. Dès qu’on en guérit, il faut faire face à la stigmatisation, estime notre blogueur Youssouf Cissé, qui lui-même est un patient guéri.