Dans la série sur la drague, Benbere pose ses valises à Mopti, où, selon le blogueur Yacouba Dramé, les jeunes filles font de plus en plus le premier pas. Cela reste un constat.
Sexualité
Prostitution : un tabou, une réalité
La prostitution est un business qui fleurit bien au Mali. A chaque coin de rue où pousse un bar, se trouve ce recoin prisé. Cette pratique, qui est un tabou au Mali, a de beaux jours devant elle.
Adultère : privilège pour l’homme, sacrilège pour la femme ?
Dans notre société, lorsque l’homme commet l’adultère, c’est un non-événement. Par contre, si c’est la femme, c’est impardonnable. La blogueuse Nafmalook crie au deux poids, deux mesures.
Micro-trottoir : ce que pensent certains hommes de la perte de la virginité
Ils sont nombreux les hommes qui tiennent à avoir une femme vierge. Pour d’autres, aimer sa femme est le plus important. Le blogueur Mohamed Ag Allou a donné la parole à quelques hommes.
Drague à Bamako : ce que les filles préfèrent chez les hommes
Ce n’est pas toujours facile de conquérir une fille à Bamako. Selon le blogueur Tony Star, la réussite dans la drague dépend de la préférence de la fille courtisée.
A Mopti, le « Maya Dialan » ou la virginité à tout prix !
L’intérêt des jeunes filles à vouloir redevenir vierge dans notre pays est un phénomène qui prend de l’ampleur. A Mopti, les jeunes filles ont recours à des moyens médicalement déconseillés pour éviter le déshonneur.
Micro-trottoir : les filles s’expriment sur la perte de la virginité
La perte de la virginité avant le mariage est un sujet très tabou dans nos sociétés. Notre blogueuse Fatoumata Koïta a donné la parole à quelques jeunes filles pour qu’elles disent ce qu’elles en pensent.
« J’’ai été violée pour toute la vie »
Violée par son oncle étant enfant, le quotidien de Alima est un calvaire. Dans ce monologue, elle appelle les victimes de viol à dénoncer le coupable, même s’il est de la famille, à travers la plume de Niamoye Sangaré.
Les victimes de viol vivent l’enfer en silence
Le phénomène du viol souille l’honneur et le nom des filles victimes. Ces filles, qui n’ont pourtant rien fait, sont mal perçues dans la société comme si elles étaient coupables de quelque chose, écrit Rokiatou Diakaby.