Pour l’enseignante et chercheuse Aïssata Ba, les VBG contre les hommes devraient être combattues. Cela ne devrait pas nous conduire dans une compétition effrénée pour prouver qui souffre le plus.
Mali Sans VBG
Avec Mali Sans VBG, Benbere veut faire comprendre que mettre fin aux violences basées sur le genre est une affaire d’hommes comme de femmes.
Chaque année, des milliers de femmes se font harceler au travail, violer dans les rues, violenter par leur mari ou copain. A cela, viennent s’ajouter les mariages forcés, les mutilations. Chaque année, des milliers de femmes n’ont pas accès aux soins de santé, à l’eau potable, à l’aide pour l’entreprenariat etc. Chaque année, des milliers de femmes, malgré tout, travaillent et contribuent au développement du pays, au maintien de leur foyer.
#MaliSansVBG : les charlatans sont aussi des bourreaux
Au Mali, nombreux sont ces charlatans ou pseudo-marabouts qui contribuent à traumatiser leurs clientes. Pour le blogueur, Almoudou Mahamane Bangou, ils sont également à la base de certaines violences basées sur le genre.
#MaliSansVBG : ne pas oublier les travailleuses du sexe !
Pour l’enseignante et chercheuse Aïssata Ba, les travailleuses du sexe ne doivent pas être les parent pauvres de la lutte contre les violences basées sur le genre.
#MaliSansVBG : ma sœur, battue sur fond de jalousie
Elle n’avait jamais cru qu’un jour, les coups de pieds et les uppercuts remplaceraient les caresses que son mari lui donnait. Et pourtant, c’est arrivé !
#MaliSansVBG : Les deux vies d’enfer de Safiatou
Safiatou (pseudo) souffre dans son couple comme beaucoup d’autres femmes. Une vie de couple difficile, faite d’insultes et d’humiliations, après une autre, dure, chez son oncle. Témoignage.
#MaliSansVBG : en attendant la loi sur les violences basées sur le genre
Les violences basées sur le genre continuent à faire des ravages. Pour le blogueur Aliou Diallokei, si la société est la principale cause, l’absence de loi aggrave la situation.
#MaliSansVBG : un tabou nommé « viol conjugal »
Au Mali, lorsqu’on parle de violences conjugales, on pense directement aux insultes et aux sévices corporels alors que le viol en fait partie.