Les violences à l’égard des femmes et des filles ont augmenté au Mali. La pandémie coronavirus a contribué à une montée en flèche des cas de VBG dans un contexte économique précaire.
Mali Sans VBG
Avec Mali Sans VBG, Benbere veut faire comprendre que mettre fin aux violences basées sur le genre est une affaire d’hommes comme de femmes.
Chaque année, des milliers de femmes se font harceler au travail, violer dans les rues, violenter par leur mari ou copain. A cela, viennent s’ajouter les mariages forcés, les mutilations. Chaque année, des milliers de femmes n’ont pas accès aux soins de santé, à l’eau potable, à l’aide pour l’entreprenariat etc. Chaque année, des milliers de femmes, malgré tout, travaillent et contribuent au développement du pays, au maintien de leur foyer.
#MaliSansVBG : au-delà des 16 jours d’activisme, continuer la lutte
Le blogueur Ousmane Makaveli estime que le combat contre les violences basées sur le genre doit aller au-delà des 16 jours d’activisme. Pour lui, les grands changements se font toujours dans la durée.
#MaliSansVBG – Micro-trottoir : « La femme n’est pas une esclave »
Pour clôturer la campagne #MaliSansVBG, Benbere a décidé de proposer à son lectorat un micro-trottoir dans lequel les hommes se prononcent sur le fléau de la violence basée sur le genre, notamment celle à l’encontre de la femme.
#MaliSansVBG : le calvaire des épouses de migrants
Au Mali, certaines femmes de migrants sont privés d’activité sexuelle durant l’absence de leur mari. Pour Mariam Sanè Coulibaly, cette situation est aussi une forme de violence basée sur le genre.
#MaliSansVBG : face à la violence conjugale, les femmes doivent partir
Certaines femmes vivent l’enfer au quotidien dans leur foyer, mais restent malgré tout. Alors qu’elles ont la possibilité de partir. Une attitude que déplore Dramane Maïga.
#MaliSansVBG : « Il ne m’aime plus, j’ai peur pour ma vie et celle de mes enfants »
La campagne #MaliSansVBG, lancée par Benbere, a encouragé une victime à témoigner, sous anonymat, à notre blogueur Dramane Maïga.
HUMEUR : Non, les femmes ne devraient plus être des victimes
L’éditrice Adja Mariam Soro a lu plusieurs articles sur les violences basées sur le genre avant de pousser ce coup de gueule publié d’abord sur sa page Facebook que nous reprenons avec son autorisation.
#MaliSansVBG : victime de viol, « je n’oublierai jamais, même si j’ai appris à vivre avec »
Enfant, nous vivons des situations dont nous ne réalisons la gravité qu’à l’âge adulte. L’une de nos blogueuses raconte son viol, à l’âge de 9 ans, et appelle les parents à surveiller et à communiquer avec les enfants.
#MaliSansVBG: il faut continuer la lutte contre la violence entre partenaires intimes
Pour la chercheuse et enseignante Aïssata Ba, nous accusons souvent les survivantes ou victimes de violence entre partenaires intimes de ne pas avoir quitté leur partenaire violent plus tôt. Toutes choses qui ne sont pas toujours faciles.