À la veille de l’élection d’une nouvelle secrétaire générale de la Francophonie, qui n’est nulle autre que la Rwandaise Louise Mushikiwabo selon plusieurs analystes, il est grand temps de se demander ce qu’il reste des valeurs de la Francophonie et[…]
Il faut sauver l’hôpital de référence de Kayes
L’hôpital Fousseyni Daou de Kayes est caractérisé par un dysfonctionnement sur fond de conflits entre les syndicats des médecins et la direction. Il manque aussi certains appareils incontournables pour assurer un service de santé de qualité. Le blogueur Michel Yao[…]
À Kéniéba, l’or vaut mieux que le diplôme
Connue pour ses richesses aurifères, le cercle de Kéniéba, dans la région de Kayes, voit ses élèves déserter les salles de classe pour travailler dans les sites d’orpaillage traditionnel, écrit le blogueur Ibrahima Dia.
Octobre rose : Nous aussi, combattons le cancer du sein !
Le mois d’octobre est dédié à la sensibilisation contre le cancer du sein, une maladie qui n’est pas très connue au Mali. D’après l’Organisation mondiale de la Santé (OMS), la majorité des décès occasionnés par cette maladie ont lieu dans[…]
Retour des pickpockets à Bamako
De plus en plus de personnes sont victimes de vols à la tire dans la ville de Bamako. La contributrice Sita nous raconte quelques cas et appelle tout le monde à la vigilance.
Ces préjugés qui divisent les Maliens du Sud et du Nord
Je suis un Malien qui suis né et qui a grandi à Tombouctou. Pendant et après mes études universitaires, j’ai eu la chance de séjourner à Bamako et de côtoyer des Maliens de différentes ethnies et croyances, et des personnes[…]
Ce que le Mali peut apprendre de la Suisse
La blogueuse Fatim Touré a récemment visité la ville de Genève en Suisse. Elle a trouvé une ville bien organisée et qui a adopté de bonnes stratégies pour attirer les touristes. Le Mali peut s’en inspirer, écrit-elle.
Assainir Tombouctou, une responsabilité collective
La ville de Tombouctou est confrontée à la mauvaise gestion des déchets. Une réalité que déplore le blogueur Randane Ould Barka, qui salue l’initiative des jeunes qui s’organisent avec le peu de moyens qu’ils ont pour nettoyer la ville